Archive pour août, 2011

août
29

HISTORIQUE DE VIVIER AU COURT

Publié Par: Tisseron | Commentaires Commentaires fermés

Vivier au Court est situé à mi-chemin entre Charleville-Mézières et Sedan, vivier au court  est desservie par l’autoroute A 203 et la route départementale n° 5 reliant toutes deux

Charleville-Mézières à Sedan, et les routes départementales n° 57 vers Issancourt et Rumel,

n° 105 vers Vrigne-Meuse et n° 59 vers Ville sur Lumes.

Vivier au court  est voisine des communes de Vrigne aux Bois, Vrigne-Meuse, Nouvion sur Meuse,

Lumes, Ville sur Lumes et Issancourt et Rumel.

La commune de Vivier au Court a intégré la Communauté de Communes du Pays Sedanais

par arrêté préfectoral du 29 décembre 2006

Tournée vers Charleville-Mézières (arrondissement) mais imbriquée avec Vrigne aux Bois,

Vivier au Court a choisit de conforter le bassin de vie Vivier au court -Vrigne et ainsi de s’unir au Pays Sedanais.

La population de Vivier-au-Court a été estimée à 3 384 habitants en 2007. Dernier recensement de la population de la ville de Vivier-au-Court.
La population de Vivier-au-Court était de 3 296 habitants en 1999, 3 488 habitants en 1990, 3 472 habitants en 1982, 3 137 habitants en 1975 et 3 121 habitants en 1968.

Le territoire communal de vivier au court couvre une superficie totale de 9.34 km².

Dès le IXème siècle apparaît le village de Vivier, un des plus anciens du canton de Mézières

et la paroisse la plus importante du Doyenné. C’est à partir d’une métairie dépendant du

village, Curtis, que se forme le hameau principal de la paroisse qui devient par la suite Vivier au court

Cependant l’essor de l’industrie métallurgique au XIXème siècle va déterminer le

développement des communes jumelles Vivier au Court et Vrigne aux Bois. La présence du

minerai et de la forêt a favorisé l’installation des fonderies sous l’empire. Elles se sont

développées et ont donné un caractère industriel aux deux communes.

Cet essor s’est perpétué au début du XXème siècle et surtout après la première guerre

mondiale.

Le territoire de Vivier au Court ne fut longtemps qu’un vaste lac, la Meuse passant

primitivement par Vrigne-Meuse et Vrigne aux Bois. L’ancienne Meuse coulait 30 à 40

mètres au-dessus du fleuve actuel. Le fleuve, capturé par la rivière La Bar, a vu son niveau

descendre et la Vrigne a tracé un cours d’eau sinueux dans l’ancien lit de la Meuse en

s’enfonçant peu à peu dans la vallée. A la limite du jurassique et du paléozoïque, les

ruisseaux de la Claire (rive gauche) et du Thywé (rive droite) renforcèrent la Vrigne.

Le territoire communal de vivier au court se trouve en limite du massif primaire, formé de roches à dominante de quartzite qui se sont transformées en argile assez pauvre. Plus au sud, le liasique (calcaire, marnes secondaires et sables) affleure.

Le climat de vivier au court est de type continental, sujet a de brusques et fréquentes variations de températures, il offre des hivers prolongés. Les vents dominants sur vivier au court soufflent du nord, nord-est et nord-ouest.

La commune de vivier au court compte tous les services et commerces courants et quelques activités artisanales liées plus ou moins directement aux entreprises de fonderie : entreprises

d’électricité, de menuiserie, travaux publics, manutention, ferronnerie, tôlerie, serrurerie,

fonderie d’aluminium.

L’agglomération de vivier au court était l’un des centres les plus importants de fonderie en France. La présence du minerai et de la forêt sont les deux conditions qui ont favorisé dès l’empire le développement d’une industrie métallurgique. Les premières pièces (boulets et essieux pour les caissons d’artillerie, fers à repasser) ont donné le caractère de cette industrie.

L’essor de la quincaillerie ainsi que la finesse exceptionnelle du sable extrait sur place fait

vers 1850 la renommée de la commune de vivier au court. Dès 1932, on pouvait y dénombrer cinq fonderies.

La diversification de la production sur vivier au court  et une mécanisation très poussée de la fabrication a permis à l’industrie métallurgique de rester très compétitive, tant sur le marché national qu’à l’exportation.

Peu à peu, la production s’est modifiée et diversifiée dans le domaine de la quincaillerie, des

pièces de machines agricoles, textiles, des appareillages électriques et surtout des pièces

liées à la construction automobile (maître cylindres et cylindres de roues par exemple).

26 usines regroupaient, sur l’ensemble de l’agglomération de vivier au court, plus de 3000 ouvriers, dont plus de 2000 travaillaient sur Vivier au Court. Ces usines étaient implantées

, sans concentration de regroupement en zone industrielle. Ce sont elles qui ont

“fait” la ville. Les difficultés économiques des vingt-cinq dernières années ont entraîné la

fermeture de plusieurs établissements, dont la société EATON-MANIL qui comptait à elle

seule 650 salariés.

Depuis quelques années, on assiste à une délocalisation du secteur industriel de part et

d’autre de l’échangeur de l’autoroute, le long de la départementale n° 105. Le déplacement

de la zone industrielle dans ce secteur correspond à l’ancienne Zone d’Aménagement Différé

(créée en 1974 et devenue caduque depuis) et au secteur industriel du SDAU.

Depuis la dernière révision du POS, la modification de 2004 a permis d’ouvrir à l’urbanisation

la réserve foncière destinée à l’industrie et prévue au POS, à l’ouest de la RD 105. La

création de la zone est maintenant une réalité.

Le taux d’activité du secteur agricole de vivier au court  est faible. Cependant, la superficie du territoire Communal de vivier au court réservée au domaine agricole reste importante.

Les exploitations sont de superficie moyenne. Elles sont essentiellement vouées à la

polyculture et à l’élevage bovin.

La qualité des terres de formation alluvionnaire permet pour la plupart des cultures de haute

productivité. La part prédominante prise par l’industrie dans cette région des Ardennes ne

permet pas de prévoir un renversement de la tendance actuelle (diminution de la surface

agricole utile).

- EQUIPEMENTS PUBLICS

Etablissements scolaires

• Ecole maternelle Claude Debussy

• Ecole maternelle Panier

• Ecole primaire Ambroise Croizat

• Ecole primaire Charles de Gaulle

• Ecole primaire Mendes-France

• Lycée d’enseignement professionnel Louis Armand

Equipements sportifs et de loisirs

• une salle de sport en commun avec Vrigne aux Bois (COSEC)

• une salle de gymnastique

• un plateau EPS

• trois terrains de football

• trois terrains de pétanque

• un skate park

Aucun équipement touristique majeur ou hôtelier n’existe sur la commune.

Equipements sociaux et culturels

• un Centre social

• un Foyer résidence pour personnes âgées géré par l’ADAPAH

• un Foyer des Travailleurs

• la Maison de la Culture et des Loisirs Lucien Ardenne

• une salle des fêtes

• une bibliothèque

• une église

• un cimetière

Equipements techniques

• une station d’épuration intercommunale située sur Vrigne aux Bois.

• une déchetterie communautaire implantée sur la zone de Vrigne aux Bois.

- VIE ASSOCIATIVE

La vie associative de Vivier au Court est assez développée. Les clubs sportifs et de détente

et les associations diverses sont nombreux.

• l’Association franco Algérienne

• A.V.E.C.

• l’Avenir de Vivier au Court

• la B.C.D. du Groupe scolaire

• la Boxe Educative

• le Cercle Familial et Social

• le club l’Age d’Or

• le Club Bouliste

• le Club Tennis de Table

• le comité de jumelage Vivier-Mareuil

• le Comité des Œuvres Sociales de Vivier au Court

• Association de vivier à tambach

• le CSAC Budo Traditionnel

• l’ Espace Social et Culturel Victor Hugo

• La Fanfare Vivaroise

• la gym volontaire Vrigne-Vivier

• l’Harmonie Municipale

• le Karaté club

• Solidarité Ardennes Cancer

• l’ U.N.C.

• l’Union Sportive de Vivier au Court

• les Vétérans Vrigne-Vivier

• les Vivarois du spectacle

De gros problèmes de ruissellement existent sur la commune de vivier au court , en amont de la zone bâtie au dessus du LEP et dans le bas du village au niveau du Thywé.

La municipalité a déjà limité la conséquence des pluies violentes en faisant remettre en

prairie certaines terres labourées et en plantant des haies perpendiculairement à la pente au

lieudit “Les Monts”.

Pour accroître l’efficacité de ces mesures, dans certains secteurs la conservation des

prairies (ou la remise en herbe) est recommandée. Les constructions y sont interdites, sauf

celles favorisant le pâturage sur place des animaux. Le retour en herbe du secteur est

primordial pour la commune, tout doit donc être fait pour le favoriser. La mise en herbe des

terrains dépend maintenant de la possibilité pour les agriculteurs de récupérer ou d’échanger

des quotas laitiers, pour ne pas avoir trop de perte d’exploitation dans la remise en herbe.

Toutes les haies et plantations perpendiculaires à la pente sont à conserver ou à favoriser.

La possibilité de réaliser des bassins de décantation et de rétention, permettant de limiter les

effets du ruissellement en amont de la zone bâtie

La commune de vivier au court  possède deux exploitations classées pour la protection de l’environnement (sur trois sites), un élevage de chiens et un élevage bovin, et deux sites soumis au Règlement  Sanitaire Départemental.

Il existe un site archéologique reconnu sur la commune, une nécropole mérovingienne située

au lieudit “Monta Vaux

,

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août
27

PREPARATIFS POUR LA RECEPTION DE LA DELEGATION ALLEMANDE

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Bonjour à toutes et tous

Une réunion s’est tenue vendredi 26 aout à 20 heures à la salle Abbé Pierre, pour les préparatifs à la venue de la délégation allemande .

Prochaine réunion  Jeudi 1 septembre à 20 heures au même endroit

Comptant sur votre présence.

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