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Ce n’est qu’un « Bis bald »…

Par Tisseron

Publié le vendredi 17 août 2012 à 10H25 -

http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ce-nest-quun-bis-bald

Les deux comités de jumelage des villes de Vivier-au-Court et Tambach-Dietharz réunis pour la photo souvenir.

TREIZE membres de l’association De Vivier à Tambach se sont rendus à Tambach-Dietharz suite à l’invitation de la commune. Ce voyage en Allemagne était prévu sur trois jours.
Les homologues allemands ayant apprécié l’accueil familial de l’an passé, ont décidé de recevoir, eux aussi, la délégation vivaroise dans les familles.
Le soir un barbecue était organisé au club de tir et tous ont festoyé devant un magnifique spectacle de feu réalisé par une troupe amateur.
Le lendemain, le groupe a visité le château Friedenstein, le plus grand château baroque d’Allemagne, où se trouve le théâtre Ekhof qui détient la seule machinerie encore complète datant de l’époque.
L’après midi était dédié au rafting, objet principal de ce voyage.
Une autre commune s’est ainsi dévoilée avec de nombreuses animations et un grondement sourd lié à cette eau lâchée du barrage.
Quelques téméraires de l’association ont bravé les eaux tumultueuses et froides (4 °C) sur 3 km, passant ainsi sous les sept ponts, dont celui de Vivier-au-Court. Le soir, c’est au milieu de la foule que tous ont pu savourer la saucisse de Thuringe.
Le nouveau maire de Tambach-Dietharz, Marco Schultz, a invité le maire de Vivier-au-Court, Jean Méhault, à planter un chêne pour commémorer les 40 ans de ce jumelage.
Le jour suivant figurait, au programme, la visite souterraine et aérienne du nouveau barrage Schmalwasser-Talsperre dont les travaux débutèrent en 1988, avant la chute du mur, pour se terminer après en 1993. Certains se souviendront des nombreux d’escaliers à gravir. Une impressionnante et rarissime visite, car interdite depuis les attentats du 11-Septembre.
Pour finir ce séjour, les habitants de Tambach -Dietharz ont entonné le chant de Thüringe que les membres de l’association ont repris à l’unisson après que l’on leur eut distribué le texte.
Ce n’est qu’un « Bis bald »… l’année prochaine ce sera au tour des membres français d’accueillir leurs homologues allemands.

(Texte de Géraldine  )