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Bis bald Tambach-Dietharz !

Par Tisseron

Bis bald Tambach-Dietharz !

Publié le jeudi 02 septembre 2010 à 10H00

La délégation vivaroise et le maire de Tambach-Dietharz  devant le panneau de l'agglomération allemande.

La délégation vivaroise et le maire de Tambach-Dietharz devant le panneau de l’agglomération allemande.

Depuis 1972, la commune Vivier-au-court entretient des liens avec la ville de Tambach-Dietharz située en ex-Allemagne de l’Est. Durant plusieurs années, les Vivarois s’y rendirent et, après la chute du mur, les habitants de Tambach-Dietharz purent venir à Vivier. Certains ont gardé des relations fortes de cette époque. Le maire Jean Méhault a souhaité relancer le jumelage.
Une délégation de onze personnes, dont quatre élus, Jean Méhault, Dominique Nicolas Viot, Géraldine Roussel et Vincent Stévenin et leur conjoint, ainsi que Jacky Thillois, s’est rendue à Tambach-Dietharz par leurs propres moyens.
Le bürgermeister (le maire) Harald Wrona les attendait. Après avoir déposé les bagages à l’hôtel, les Vivarois se sont rendus dans un lieu insolite (le barrage), où le maire de Vivier, ainsi que celui de Sontra (ex-Allemagne de l’Ouest) étaient invités à émarger le protocole de jumelage avec la ville de Tambach-Dietharz, devant une assemblée de 500 personnes. Un panneau de signalisation mettant en valeur le rapprochement des trois communes a été dévoilé pendant que les hymnes nationaux des deux pays étaient joués par un orchestre militaire qui a donné ensuite un concert d’une qualité exceptionnelle.
Visite de la ville le samedi et, en soirée, concert de Herman van Veen au profit des enfants malades du cancer, Le dimanche, la délégation a offert à M. Wrona une enveloppe pour les enfants malades, avant de visiter de l’autre partie de la ville, celle au-dessus du barrage, des industries et de la source Quelle qui guérit, d’après la légende, les calculs rénaux. Visite du 2e barrage qui fait partie des dix plus grands du monde, situé dans la majestueuse forêt de Thuringe…
La promenade bucolique s’est achevée par un barbecue au pied du Falkenstein où trônait l’écusson de Vivier-au-Court. Une rencontre très enrichissante, qui va donner lieu à d’autres échanges ainsi qu’à la création d’une association de jumelage, d’autant que la langue ne sera pas un obstacle ; en effet, certains éléments de la délégation ont d’excellentes bases en allemand.
Bis bald (à bientôt)… donc.